Une tempête tropicale en cours de formation dans l'océan indien

Les dernières tendances continuent de suggérer une reprise de l’activité cyclonique dans le Sud-Ouest océan Indien dans les jours qui viennent. Les produits d’ensemble estiment entre 70 et 80 % le risque de formation d’une tempête tropicale pour les cinq prochains jours. À noter que si le stade du baptême est atteint, l’éventuel futur système sera nommé Chenge, nom proposé par la Tanzanie. Voici notre point cyclogenèse du jour.

Les dernières tendances continuent de suggérer une reprise de l’activité cyclonique dans le sud-ouest océan indien dans les jours qui viennent. Les produits d’ensemble du entre européen estiment entre 50 et 60 % le risque de formation d’une tempête tropicale pour les cinq prochains jours. Cette probabilité se renforce les jours suivants. À noter que si le stade du baptême est atteint, l’éventuel futur système sera nommé Chenge, nom proposé par la Tanzanie.

Les dernières tendances continuent de suggérer une reprise de l’activité cyclonique dans le Sud-Ouest de l’océan Indien durant la deuxième moitié de ce mois d’octobre. Voici une analyse complète des différents éléments et produits permettant d’établir un scénario à long terme.

Le mois d’octobre constitue généralement la période d’intersaison entre la fin de l’hiver austral et le début de la saison cyclonique dans le sud-ouest de l’océan Indien. À cette période, les conditions atmosphériques demeurent souvent défavorables à la formation de systèmes tropicaux matures, en raison de températures de mer encore fraîches et d’un cisaillement vertical persistant. Pourtant, depuis le début de l’ère satellitaire en 1967, six cyclones tropicaux ont réussi à se former au cours de ce mois. Cet article revient en détail sur chacun de ces cas — de Blanche (1969) à Anaïs (2012) — pour comprendre comment, malgré un contexte encore peu favorable, certains systèmes parviennent à atteindre le stade de cyclone tropical dès octobre dans l’océan Indien Sud-Ouest.

L’activité cyclonique dans le Pacifique Ouest est marquée par le typhon Halong, qui évolue au sud du Japon. Le système présente une structure impressionnante, avec un œil parfaitement défini au centre d’un cœur très symétrique. Dans le mur de l’œil, les rafales sont estimées à environ 260 km/h par le CMRS de Tokyo, ce qui en fait un phénomène particulièrement dangereux. Néanmoins, la prévision de trajectoire est favorable pour le Japon, qui devrait rester à l’écart de la partie la plus active du système. En revanche, l’archipel des îles Izu est directement impacté par Halong. Il s’agit du 23ᵉ système suivi au cours de la saison cyclonique 2025 dans le Pacifique Nord-Ouest.

Après le succès fulgurant de sa première chaîne WhatsApp lors du cyclone Belal, brutalement interrompue par un blocage inattendu, CycloneOI revient avec une nouvelle énergie. Sa renaissance prend le nom de CycloneOI Fan Zone, un espace d’échanges et d’analyses où la passion des cyclones se vit toute l’année — avec le regard unique de l’océan Indien sur les tempêtes du monde entier.

Le Centre Européen de Prévision (ECMWF) a publié ses tendances saisonnières pour la période novembre 2025 à avril 2026. Ces projections esquissent les grandes lignes de la suite de la saison cyclonique 2025/2026 sur le bassin sud-ouest de l’océan Indien, déjà marquée par la formation précoce des tempêtes Awo et Blossom. Quel niveau d’activité attendre ? Quelle répartition géographique de l’activité cyclonique ? Quelles trajectoires privilégiées et quels risques potentiels pour les terres habitées ? Voici ce qu’il faut retenir.

Une tempête tropicale dénommée “Shakhti” évolue actuellement dans l’océan indien Nord, plus exactement sur la partie Nord-Est de la mer d’Arabie. Il s'agit du premier système baptisé de la saison cyclonique 2025. Ce dernier a gagné en intensité dans la nuit du 3 au 4 octobre 2025, devenant une forte tempête tropicale selon le CMRS de New Delhi. Le système génère des rafales estimées à 135 km/h près du centre. Le phénomène qui devrait rester en mer ne représente pas de danger pour les terres habitées.